CAVNIP
Bien joué, Pascal
Bien joué cette rectification. En effet après vérification le stacker Ferrari est bien arrivé en 2006 et ce nouveau calcul change tout. Plus de 12 heures par jour de gêne sonore pour les riverains.
On mettra cette erreur de calcul de CCES sur le changement de direction. On recommendera à tous ceux qui utilisent les données fournies par CCES de vérifier les sources au lieu de mettre en cause la vérité énoncée et vécue par les riverains.
Cela ne change rien aux nuisances ressenties mais étale au grand jour l'importance du phénomène à l'origine de la création de Cavnip : nous ne sommes pas des raleurs professionnels et souhaitons passés notre temps libre à autre chose que lutter pour avoir un cadre de vie acceptable.
Nous comptons sur Marie-line, Eric, Micheline ,... pour noter scrupuleusement les horaires de travail du stacker et surtout les débordements du soir et du matin. Nous récupèrerons ces données avant le 17 juillet afin d'avoir un argumentaire pour la réunion en sous-préfecture.
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COURRIER, SUITE.....
Toujours dans le même courrier, on peu lire : " le stacker totalise depuis juin 2004, 6528 heures de fonctionnement, soit une moyenne de 6,8 heures / jour " Problème, c'est que le stacker actuel n'est entré en fonction qu'en février 2006 ( reportage de la voix du nord du 19 février 2006 ) . A l'époque, CCES est passé de 4300 containers en 1997, à 28.000 en 2005, et 40.000 en 2006. Donc en 2004, et selon les explications de P Muller, le stacker précédent, plus petit, manipulait moins de 28.000 containers / an .Par conséquent, le stacker actuel a fonctionné deux années à raison de cinq jours / semaine, soit 520 jours, ce qui fait 6528 / 520 soit 12,55 heures / jour, près du double annoncé. Enfin, on peut lire encore : " il semblerait également selon les réponses transmises que les plaintes de CAVNIP ne soient pas partagées par l'ensemble des riverains ". Réflechissons : s'il y a eu des réponses transmises, c'est qu'il y a eu des questions posées . Qui a posé les questions . Quelles questions ? Qui a transmis les réponses ? Qui a répondu aux questions qui n'ont pas été posées ?. Un questionnaire a t'il circulé à notre insu ? Y a t-il un agent infiltré ?
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COURRIER DE LA SOUS-PREFECTURE
Mme le Maire, que nous remercions au passage, ainsi que plusieurs membres du conseil pour leur aimable visite lors de notre repas de quartier de dimanche, nous a transmis copie de la réponse du sous-préfet. Il confirme la délocalisation de l'activité Toyota et du stacker vers escaupont deuxième semestre 2010 !!! Il và donc faloir être très patient . Dans les conditions actuelles celà est difficilement envisageable sans incidents, ce qui implique de la part de CCES de très gros efforts pour limitter au maximum les nuisances. CAVNIP a pu renouer le dialogue avec le nouveau directeur de CCES sur son invitation. Des promesses nous ont été faites de tout mettre en oeuvre pour un démarrage du stacker après 07H00 et un arrêt à 19H00 . Seules les urgences de Toyota devraient justifier la remise en route très ponctuelle du stacker ( maximum deux fois ), pour une durée maximale d'une dizaine de minutes par manip. Dont acte. D'autre part, le nouveau directeur général étudie les possibilités de création d'un " mur anti-bruit " avec les containers les moins à même d'être manipulés, ainsi qu'une optimisation de la logistique pour diminuer au maximum les temps de marche du stacker .Nous allons donc vérifier scrupuleusement le respect de ces horaires et vous invitons à le faire avec nous afin qu'il n'y ait aucun doute là -dessus. De la réunion du 17 et du comportement de CCES dépendrons donc nos initiatives. PP
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Réunion en sous-préfecture prévue le 17 juillet
Nous avons appris hier que la réunion tant attendue aura lieu en sous-préfecture le 17 juillet. Nous saurons donc à quoi nous attendre et pourrons préparer notre riposte éventuelle pou le mardi 22 ou mercredi 23 juillet. Pensez-y et rendez-vous disponible pour ces dates. On affinera la préparation au fur et à mesure.
Bonne semaine
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Suite de la réponse de Mle Ethuin
Les Poussières :
Nous avons étudié toutes les possibilités pour limiter au mieux les poussières dégagées lors de l’ensilage des céréales, mais nous ne pourrons jamais empêcher complètement la disparition de celles-ci, de même que nous ne pourrons jamais empêcher le pollen d’atteindre les personnes fragilisées.
Quant à l’utilisation arrière des bâtiments, c’est impossible car il n’y a pas assez de place pour la manœuvre des camions.
Nous avons du investir de très grosses sommes dans un appareillage extérieur sur ordre de la DRIRE, celle-ci nous empêchant l’accès direct dans les halls de stockage. Sans oublier toutes les précautions que nous prenons vis-à-vis de notre personnel qui est aux premières loges.
L'alarme :
Sauf intrusion nocturne, ce problème de l’alarme devrait être résolu suite aux vérifications que nous avons fait faire.
Malheureusement, comme nous vous l’avons dit, ce système est absolument indispensable compte tenu de l’incivilité de prédateurs toujours à la recherche de matériel, marchandises, cuivre qu’ils ne se gênent pas pour récupérer sur nos installations électriques, ou tout simplement, pour le plaisir de vandaliser.
Les sondages :
Il s’agit de sondages réalisés en partenariat avec
Conclusion :
Nous sommes conscients que nos réponses ne correspondent pas forcément à tous vos souhaits, mais sachez que nous ne nous désintéressons pas du sort des riverains et que nous essayons sans cesse d’améliorer nos méthodes de travail.
Il est évident qu’un manque de communication a fait naître un ressentiment fort et pas toujours objectif envers notre société, et notre souhait est de pouvoir faire cohabiter dans la sérénité, les riverains de notre site, et ceux qui vivent de leur travail dans notre société, un travail pas toujours facile.
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Ma réponse envoyée ce jour à Mle Ethuin :
Merci pour ces réponses, qui malheureusement nous laissent dans la poussière. Votre comparaison entre les poussières contenant des traces d'engrais, etc.. et le pollen me paraît osée, pour ne pas dire déplacée. En effet le pollen est naturel, les poussières résultent de votre activité et peuvent être supprimées.
D'autre part le ressentiment qu'éprouve un grande majorité de riverains à l'égard de votre site provient en grande partie du manque de considération de la part de la CCES à notre égard. Les mensonges énoncés en réunion en sous-préfecture par Mr Muller (40 camions par jour, limitation du bruit du stacker, dépassement des horaires à caractère exceptionnel, ..) ne pouvaient recevoir que mépris et allergie des riverains à l'égard de cette entreprise.
La sérénité dont vous parlez, ne peut survivre à l'agacement que provoquent les nuisances sonores, visuelles et environnementales, à longueur de journée et de nuit.
Mais je suis d'accord avec vous : la communication doit rester un outil d'amélioration des relations de voisinage, même si les nerfs sont à vif.
Je me permettrai donc à l'avenir de vous relater les soucis des riverains afin que vous puissiez leur apporter votre point de vue
Cordialement
Michel Leroy
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